Sketchnote : je sais parler de l’école
Notes visuelles pour découvrir le lexique et les structures nécessaires pour parler de l’école, niveau A1-A2.
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Description
La série de notes visuelles (sketchnotes) “je sais parler de…” fait découvrir à vos apprenants le lexique et les structures nécessaires pour parler de différents thèmes au niveau A1 puis propose une activité de réemploi.
Retrouvez dans chaque ressource :
- une page de notes visuelles
- un exercice de compréhension écrite
- une page d’illustrations à découper pour faire créer des notes visuelles à vos apprenants.
En combinant plusieurs ressources ce cette série, vous pourrez amener vos apprenants à réemployer le lexique et les structures dans différents contextes.
Le lien de téléchargement de cette ressource est valable deux mois après achat.
Avis
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Benoit Villette
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Isa61 (client confirmé) –
Bonjour !
Je viens d’utiliser ce skechnote avec mes apprenantes OEPRE. Je leur ai proposé de nous raconter leurs souvenirs d’école et ça a vraiment très bien marché : malgré les niveaux différents, elles ont collé, puis écrit des petites phrases (même celles qui ont un niveau A1) et elles ont ensuite développé à l’oral tout ce qu’elles n’avaient pas réussi à écrire. Il y a eu beaucoup d’interactions, de fous rires.
C’est une très belle expérience pour utiliser le vocabulaire de l’école dans la bonne humeur et pour mieux se connaitre.
Bref, une activité complète que je vais sans aucun doute renouvelée avec d’autres sketchnotes.
Marine –
Bonjour !
Je trouve que ce sketchnote est utile, et je pense qu’au contraire, il peut très bien convenir à des adolescents. Bien sûr, cela dépend de la classe qu’on a et de son comportement général, mais je crois que cela peut tout à fait convenir à une classe de lycée qui s’intéresse à l’apprentissage du français (par exemple qui aurait volontairement choisi le français comme matière pour leur diplôme de lycée). Bien sûr, sécher les cours et tricher, ce n’est pas bien, mais ce n’est pas parce qu’on en parle et qu’on leur apprend les expressions que les élèves vont se mettre à adopter de tels comportements.
Par exemple, dans les histoires du Petit Nicolas, il y a tout un tas de bêtises mais les enfants qui lisent le Petit Nicolas ne font pas nécessairement plus de bêtises que les autres (enfin je crois ! Il faudrait faire une étude…).
Si j’étais adolescente, je trouverais ce vocabulaire très utile pour discuter avec mes correspondants francophones ! Et puis, je pense qu’il peut être intéressant de parler de ces problèmes avec les élèves. Pourquoi les élèves sèchent-ils ? Quel est l’intérêt de tricher ? Pourquoi certains n’aiment pas l’école ? Encore une fois, tout dépend de la classe mais les adolescents sont aussi capables de prendre du recul.
caroline.boucher –
J’adore vos sketchnotes et j’ai donc ouvert celui-ci avec enthousiasme… jusqu’à ce que je me rende compte qu’il est inutilisable avec mes élèves de 15-16 ans (qui pourtant auraient été les premiers concernés par le sujet), au risque d’encourager des comportements que, comme prof dans une école, je combats au quotidien: sécher les cours, ne pas faire ses devoirs, tricher… Il y a dans cet humour le risque de banaliser ces comportements, un risque que je ne peux pas prendre même dans un esprit de discussion. Bref, ce document s’adresse plutôt aux jeunes adultes qui sauront avec le recul en apprécier l’humour (à un âge où on peut prendre tout ça avec un grain de sel et en rire volontiers), qui est d’ailleurs votre premier public, je ne l’oublie. Mais j’en profite pour signaler que des ressources (volontiers plus positives) à l’intention des adolescents seraient les bienvenues!